Cette affaire est perçue comme un coup de tonnerre depuis son apparition et ne cesse pas de susciter polémique dans le milieu kinois qui d’un côté est composé des personnes qui critiquent sévèrement le pasteur Moïse Mbiye.
Actuellement en justice après avoir déposé une plainte contre l’artiste musicien congolais pour “viol, avortement et menace de mort” après que Eliane Bafeno l’artrice principale « Ye Oyo » du clip ait fait des révélations surprenantes sur « sa relation intime » qu’elle entretenait avec le pasteur de l’église Cité Béthel.
Ce mercredi 29 janvier, en compagnie de ses avocats, Éliane Bafeno était pour la première fois devant les journalistes pour éclairer la lanterne sur ce sujet. L’un de ses avocats, maître Jimmy Ngalasi, a affirmé que si sa cliente a eu à faire cet avortement c’était dans le but de sauvegarder l’image du pasteur Moïse Mbiye.
« La grossesse était du pasteur Moïse Mbiye. Si ma cliente avait accepté d’avorter c’était dans le seul but de préserver l’image du pasteur Moïse Mbiye, vis-à-vis de l’opinion publique » a-t-il dit aux journalistes présents dans cette conférence de presse.
Et de renchérir que c’était par influence qu’a cet artiste sur sa cliente, que la demoiselle Éliane Bafeno a pu garder le silence durant tout ces temps.
« Il y a toujours une influence entre pasteur et fidèle, c’est cette influence qui a fait que la mademoiselle Éliane Bafeno traîne pour briser le silence. En matière de viol, la prescription est de 10 ans pour saisir la justice ».
Ce même avocat avoue qu’ils ont eu a approché le pasteur Moïse Mbiye afin de trouver une solution à l’amiable question toujours de protéger l’image de l’église Cité Bethel, mais hélas cette approche s’est avéré sans succès car ils étaient butés par une barrière d’orgueil.
« Nous avons tenté d’approcher le pasteur Moïse Mbiye pour une solution à l’amiable afin de préserver l’image de l’église de réveil de la République démocratique du Congo et l’église Cité Béthel, malheureusement nous avons été buté à une barrière qui mettait en avant l’orgueil ».
Mechack Wabeno