
Le vice ministre, ministre de l’environnement et développement durable Ève Bazaïba a dans une lettre adressée à l’inspection générale de finances (IGF), saisit l’inspecteur de chef de service de ce dernier (IGF) pour solliciter l’acquisition d’un maximum d’informations sur l’audit du financement de son ministère au trésor public.
Dans sa lettre, la patronne du ministère d’environnement a fait savoir son souci au près du chef de service de l’inspecteur généralF dans le seul but de recueillir les informations maximales sur l’apport financier du ministère de l’environnement.
« Dans le souci de recueillir le maximum d’informations sur l’apport financier réel du ministre de l’environnement et de développement durable au trésor public, je vous invite à déployer une équipe pour la récolte des données y afférentes. Ceci me permettra de compléter l’état des lieux de la gestion financière globale du ministre » écrit-elle à l’IGF
Ève Bazaïba, a signalé par ailleurs lors de sa remise et reprise avec son prédécesseur Claude Nyamugabo, l’ONG internationale du Greenpeace Afrique, l’avais demandé de respecter les concessions forestiers industrielles qui en outre étaient violé sans scrupules.
« Greenpeace Afrique demande à la ministre Bazaiba de faire respecter le moratoire sur les nouvelles concessions forestières industrielles violé sans scrupules et à plusieurs reprises par son prédécesseur en complicité avec des entreprises chinoises et congolaises » avait indiqué cette ONG internationale
Et d’ajouter que :
« Les allégations auxquelles fait face monsieur Nyamugabo doivent faire l’objet d’une enquête judiciaire afin d’établir toutes les responsabilités dans cette affaire et qu’un jugement soit rendu selon la rigueur de la loi » avait conclu Greenpeace Afrique
Il faut savoir que la demande de cette ONG internationale Greenpeace, intervient dans cette affaire dans le cadre d’un communiqué des organisations des sociétés civiles qui dénonçaient l’illégalité de 13 concessions forestiers industrielles pour un montant de 2.800.000 représenté par deux entreprises, d’une part celle des chinois et d’autres part celle des congolais représenté par Claude Nyamugabo.
Preciana Makilutila